Les Galgos sont condamnés.
Sans une prise de conscience massive et internationale, oui, les Lévriers Espagnols appelés Galgos sont condamnés…
Condamnés à souffrir et à mourir dans un silence médiatique fracassant.
Deux, trois années à mener une vie misérable, pas davantage, avant de connaître une mort violente,horrible…
En Espagne, ils sont employés dans des parties de chasse sans fusil. Chasseurs à vue ultra rapides, ils fondent sur leur proie sans qu’aucune intervention humaine ne soit nécessaire. Mais les chasseurs (galgueros) ne remercient pas pour autant leurs fidèles compagnons, ces deniers ne sont que des outils de chasse et sont traités comme tels. A peine leur adolescence terminée, déjà usés par les mauvais traitements, le manque de soins et de nourriture, leur maîtres s’en débarrassent en leur infligeant d’atroces souffrances. Chaque printemps, la saison de la chasse touchant à sa fin le massacre des Galgos atteint alors son paroxysme. L’exécution la plus traditionnelle demeure la pendaison selon la méthode dite du pianiste, le Galgo est pendu les pattes arrière touchant encore le sol de manière à ce que son agonie dure plusieurs jours, jusqu’au moment, où, épuisé il va s’écrouler, «se pendant lui même», dédouanant ainsi de toute culpabilité le galguero ayant pourtant bien programmée cette atroce fin. Dans les forêts Espagnole, au hasard d’une promenade, il n’est pas rare de faire la macabre découverte d’un de ces Lévriers devenu indésirable pendu à la branche d’un arbre.
Le chiffre de 10 000 Galgos (sur un cheptel de 500 000 continuellement renouvelé) sacrifiés chaque année est avancé par les associations de sauvetage qui combattent sans relâche ces pratiques issues d’un autre âge : pendus, traînés derrière un véhicule, empoisonnés par ingestion d’acide, les membre sectionnés ou toute autre cruauté innommable. Dans certaines régions d’Espagne, du sud en particulier, la lente agonie des Galgos relève de la tradition, de ce goût indéniable du « jeu de la
mort » et, hélas, il est difficile de faire disparaître des rituels, fussent-ils les plus abominables.
Créé en 2007, "Le Bulletin Des Lévriers" (association de protection animale, loi 1901), marque la continuité d’un combat entamé depuis des années par sa présidente et fondatrice Barbara LEFRANC. Amoureuse des animaux depuis l'enfance, elle a adopté Tipllub, son premier Whippet, en 2002 et est "tombée sous le charme" des Lévriers...
Successivement bénévole très impliquée, Chargée du Développement et Vice-Présidente au sein de différentes structures en France, le Bulletin Des Lévriers s'est imposé comme une suite logique afin de venir en aide à tous les Lévriers subissant abus, maltraitance et abandon, à l’étranger ou en France.
Depuis, le BDL œuvre sans relâche et de tout coeur en faveur des Lévriers martyrs. Galgos et Podencos sont recueillis sous l’égide d’une formidable équipe de bénévoles aussi désintéressés que motivés à sauver les plus brillants joyaux de la couronne d’Espagne.
Nous l'avons tous compris, la clé de la fin du calvaire des Lévriers en Espagne passe par un martèlement continu et des actions multipliées pour faire connaître et avancer leur cause.
Nous avons besoin de vous, merci de visiter notre site.
Amicalement,
Barbara LEFRANC -
ASSOCIATION DE PROTECTION ANIMALE
LOI 1901
6 chemin des Heuleux
78240 CHAMBOURCY
Téll : 06.11.80.35.14.
www.adoption-levrier.fr